Petit prince du rap, lossa sans âme et sans amours, Sadek est fatigué d’être vivant, dégoûté des hommes et des femmes, et il s’éloigne d’eux, peu à peu, du bas du bloc à la tour d’ivoire. Posséder pour se soigner et rapper pour l’exprimer, c’est cette désillusion douloureuse qui porte l’album, de morceaux ambiançants en kickages en bonne et due forme. De « Zahouania » à « Petit Prince », VVRDL regorge de morceaux marquants, à tel point qu’on voit en quelques titres des pistes superflues, et qu’on passe facilement du replay au forward.
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