Jazzy Bazz plie mais ne rompt pas

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Jazzy Bazz annonce son nouvel album avec un morceau clippé à l’esthétique soignée, travaillée au millimètre. Tranchant dans le vif, sabré comme un soldat nippon.

De l’importance de l’humilité, hors de question de se reposer sur les faits de gloire de ses anciens ni sur la perfection de nos talents factuels. Rien ne vaut les coins sombres pour arriver à destination. Le passé est immaculé, et il serait indécent d’œuvrer en malveillance pour souiller tout cela. Les armes ont été faites en un lieu de paix et de sagesse. C’est à travers les herbes hautes que la lumière vient à celui qui plie mais ne cède pas. Ne pas compter les heures pour accoucher d’une arme de destruction massive.

Musculation à la bibliothèque. Membranes vibrantes rodées sur les inspirations d’un frelon des premières heures. Les victoires ne se comptent plus pour celui qui à la force des géants. Chasser en Delorean sans petites foulées avec un gps hs. Le ciel tombera sur la tête de tout un chacun quand Bazz lâchera prise. La carapace s’est épaissie dans les quartiers urbains bardés de grattes-ciel aux reflets fondants. Toujours plus rapidement que les enveloppes biologiques humanoïdes. Épargner le savoir émotionnel chez Gringotts.

La Bande Scorsesiène jongle entre tuyaux et coups de paluches, n’ayant aucuns appui c’est sur un fil, les yeux bandés que le reste se joue, armé d’un vocabulaire fleuri faisant baver comme de bonnes grosses feuilles. Terminé de rester en warning, la prise de jactance est effective. Que ceux qui n’auraient pas fait l’effort de compréhension, par limitation ou par mauvaise foi, aillent se faire mettre. Jazzy Bazz est droit et charbonne en famille. Que ce soit clair. Les pieds dans des chaussons douillets, la tête à l’envers mais pleine d’interrogations, n’accordant aucun crédit à la tendance quand elle se mord la queue.

Personne ne mérite d’être premier de cordée, l’humanitarisme est plus bas que terre, des figures catholiques de marbre et d’or jusqu’aux symboles de puissance châteaux de cartes. L’Heure n’est pas encore à son jour, bien que l’ambiance soit lourde de tristesse. Tellement d’avance sur le grand tout que les espoirs sont déjà souvenirs. La dépouille du grand jeu balancée comme un sac de merde, aussi silencieusement que ceux qui dépassent leurs limites, s’entraînant en secret. Les grands yeux ouverts de la bien-pensance ne cesseront jamais de fantasmer l’imagerie, malgré la richesse culturelle et sociale du milieu.

Balkanisation guerrière dont les victimes seront les grandes gueules venues tester. La classification est déjà torchée. Insultes envers la foi des peuples en souffrance. L’équipe a la tête hors de l’eau, pour le moment. Comme celui qui vendra la mort en priant le grand pardon, les pompes cirées comme l’équipe du Qatar. Notre époque marche à l’envers et chaque esprit lumineux ne sera qu’un petit astre satellitaire de faible éclat. L’essentiel est de savoir se tirer de mauvais pas par d’astucieuses pirouettes à la Croft. Jamais plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.

Le repos viendra en son temps, lorsque la caille ne sera plus un besoin et faite en sous marin. C’est pas l’imagination qui déconne, c’est la culture du paraître. Grand talent dans la manière et la direction des idées, figures de styles mathématiquement techniques, le cœur bat au rythme des bpm. Trêves de falbalas, t’auras ni le succès, ni l’estime. Grande tournée de service hospitalier d’urgences, pas de cible définie, il est temps de vous planquer. Faites de la place, la parole est en jachère. Suivez le guide : Bazz.

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Klement

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